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Huile de Neem et Extrait de Margosa, répulsif 100% végétal


Graine de margousier (azadirachta indica)

Distinction entre l'huile de Neem et l'extrait de Margosa

L'huile de Neem et l'extrait de Margosa sont tous les deux issus de la graine du Margosier, également appelé arbre à Neem.
La différence entre l'huile de Neem et l'extrait de Margosa est le procédé d'extraction utilisé. L'huile de Neem vierge est obtenue par simple pression à froid des graines. L'extrait de Margosa, quant à lui, est obtenu en laboratoire, selon différents procédés d'extraction. Une ou plusieurs molécules actives peuvent alors être sélectionnées.

Réglementation huile de Neem - extrait de Margosa

Un biocide, pour être autorisé à la vente, doit avoir au moins une molécule active classé TP18 (insecticide) ou TP19 (répulsif).
Des commissions décident d'enlever ou d'ajouter dans cette liste une molécule. Pour l'instant, l'extrait de margosa (cas : 84696-25-3) est uniquement TP19. L'huile de Neem et l'azadirachtine ne sont pas dans cette liste.

Un biocide peut être également classé comme phytosanitaire, c'est à dire utilisable sur les végétaux. Pour cela il doit d'abord obtenir une autorisation de mise sur le marché (AMM) et pour l'instant aucun produit à base d'huile de Neem ou ses dérivés ne possède en France d'AMM (Autorisation de Mise sur le Marché).
Il est vrai qu'avant d'obtenir une AMM il faut déjà que la matière active soit acceptée par la commission Européenne et inscrite à l'annexe I de la directive 91/414/CEE.
Toutes ces procédures demandent des moyens humains et surtout financiers. On comprend mieux pourquoi il est plus facile à une multinationale d'obtenir ce fameux sésame qu'à une petite société disposant de peu de moyen.

voir DIRECTIVE D'EXÉCUTION 2011/44/UE DE LA COMMISSION du 13 avril 2011 sur L'azadirachtine

Les pesticides à base de Neem sont homologués aux USA depuis 1999.

Généralité sur l'huile de Neem

Le neem, en tant qu'insecticide naturel, est utilisé depuis plusieurs années au Canada, au Brésil, au Japon, en Australie, en Inde et en Europe.
Au Brésil, on l'utilise dans les cultures maraichères et fruitière. Au Canada dans le traitement des coniferes soit par pulvérisation, soit par injection directement dans l'arbre.
L'huile de Neem contient de nombreux principes actifs (plus de 168 composés). Ces principes actifs sont constitués d'un groupe de 7 substances proches incluant l'azadirachtine (Azadirachtine A :C35H44O16 et Azadirachtine B :C33H42O16) dont les propriétés insecticides on été reconnues.
De récentes études ont démontré que l'azadirachtine, aux propriétés insecticides indéniables, n'agissait pas seule et que d'autres composants du neem devaient compléter son action insecticide.
Ces autres composants potentiellement actifs et présent en grande quantité seraient : la nimbidine, la salannine, le meliantriol, la nimbine, l'azadirone, mais aussi les méliacines.
Par la synergie des nombreuses molécules qui composent le neem, il a été constaté que le risque d'accoutumance des insectes était très faible, ce qui n'est peut être pas le cas de la molécule Azadirachtine utilisée seule.
Pour plus d'informations vous pouvez consulter le dossier réalisé par l'Université Paul Sabatier.

Attention : il ne faut pas confondre l'huile de Neem (Cas : 8002-65-61) qui est une huile végétale comme l'huile d'olive et que l'on retrouve dans de nombreux cosmétiques, avec l'extrait de Margosa (Cas : 84696-25-3) qui rentre dans les préparations biocides ou encore l'azadirachtine (Cas : 11141-17-6) obtenue à l'aide de solvant et qui est actuellement interdite en France.

Toxicité de l'huile de Neem

L'huile de Neem a une toxicité faible pour les mammifères et les oiseaux (DL50 supérieure à 5000 mg/kg pour le rat) et n'est pas mutagène. L'huile de Neem est très faiblement toxique pour les abeilles.

Propriétés de l'huile de Neem

Les effets insecticides de l'huile de Neem ont été observés chez 400 espèces d'arthropodes nuisibles comme les lépidoptères (papillons), les diptères (mouches, taons, moustiques,..), les orthoptères (sauterelles, criquets,..), les hyménoptères et certaines espèces de pucerons.
Contrairement à la plupart des insecticides, l'huile de Neem n'est pas un neurotoxique (qui agit sur le système nerveux). Pour être efficace, il doit donc physiquement être en contact avec l'insecte soit parce que celui-ci touche le produit, soit parce qu'il le consomme.
On a répertorié au moins 12 modes d’action sur les insectes : répulsif, anti-appétant, phagodissuasif, régulateur de croissance, la ponte chez les femelles,..

D'après Indian Neem tree compagny, le Neem intervient à plusieurs étapes de la vie d'un insecte. Il ne tue pas les parasites instantanément (effet de choc des neurotoxiques) mais agit plutôt à long terme sur sa croissance et sa reproduction. Les résultats ne sont donc pas immédiats. Un peu de patience est nécessaire après l'application d'un produit à base de Neem.

1. La propriété la plus importante du Neem est de dissuader l'insecte de se nourrir. La présence d'azadirachtine, salanin et melandriol contenue dans le Neem empêche la larve de se nourrir des végétaux traités.

2. Le Neem empêche les femelles de pondre.

3. La formation de la chitine (exosquelette) est également inhibée.

4. L'accouplement ainsi que la communication sexuelle est perturbée.

5. Les larves et les insectes adultes sont repoussés (effet répulsif des composés proche du souffre).

6. Les adultes sont stérilisés.

7. Le Neem agit par le biais de la respiration sur pratiquement tous les tissus de l'insecte (tissus musculaires, nerveux, glandulaires). Par conséquence conséquence, l'insecte perd la coordination de ses mouvements et le contrôle de son corps.

8. En fonction de la concentration en azadirachtine :

  1. La larve ne parvient pas à muer, reste dans le stade larvaire et fini par mourir.
  2. La larve parvient à entrer dans le stade de mue, mais meurt à ce stade.
  3. L'adulte émerge de la mue mais étant stérile il ne peut se reproduire.

Domaines d'applications de l'huile de Neem

Depuis plusieurs années le neem est utilisé comme biocide dans de nombreux pays, dont le Brésil qui depuis 2001, l'utilise couramment pour les soins aux animaux, l’agriculture, la production de fruits et de légumes.
D'après Agromix Brésil il est utilisé dans :

  1. Agriculture : chenilles, cochenilles, aleurodes, thrips, pucerons, vaquinha et scarabées, mouche blanche, mouche des fruits, cicadelle, mineuses des tomates, mineuses des agrumes et autres mineuses, mille-pates, perce-oreilles, meloydogine, et autres nématodes. Maladie du système radiculaire et de la tige des plantes, oïdium du haricot, …
  2. Elevage du bétail : tiques, poux, puces, mouche de la corne, mouche des étables et porcheries, gale, acariens, scarabées des fermes, triatomes.
  3. Stockage des grains : charançons.
  4. Animaux : Traitement des étables et maisons, en simple mélange avec de l’eau pour laver les chevaux, chiens et chats.

D'autres exemples :
À Jork (Allemagne), 40 hectares de vergers sont traités à l’azadirachtine depuis 7 ans, ce qui a permis d’endiguer définitivement les invasions de pucerons cendrés du pommier.
Au Canada, en sylviculture l'huile de Neem a été évaluée dans diverses plantations d'arbres. Résultat : l'azadirachtine a été reconnu comme très efficace contre les larves défoliatrices de 13 espèces de lépidoptères et de mouches à scie (hyménoptères).

D'après le site de référence sur le Neem : https://www.neem.fr, l’efficacité de l’huile de Neem aurait été prouvée en laboratoire, en serre et en champ sur :

  • Le tétranyque à deux points en laboratoire
  • Le puceron vert du pêcher (Myzus percicae), l’aleurode des serres en laboratoire
  • Le thrips des petits fruits en laboratoire et en serre
  • Le virus de l’enroulement de la pomme de terre (PLRV) et le virus Y de la mosaïque de la pomme de terre (PVY) en serre
  • Les acariens, les pucerons, l’aleurode des serres, les mouches noires en serre
  • Les haricots verts contre la mouche du haricot et le criquet en plein champ
  • Les pastèques contre la mouche des cucurbitacées en plein champ
  • La tomate contre la noctuelle de la tomate, mouches blanches, mineuses, pucerons du feuillage, thrips en plein champ
  • La fraise contre la punaise terne en champ
  • Le brocoli, le rutabaga, le chou, le radis contre la mouche du chou en champ
  • Les oignons contre la mouche de l’oignon en champ
  • Le romarin en tunnel contre la cicadelle (Eupterix decemnota), acariens, mouches blanches, thrips
  • La fraise contre l’oïdium du fraisier en laboratoire
  • Le pommier contre le puceron cendré et le puceron du feuillage en verger

D'autres essais réalisés en laboratoire et en serre par le Centre de recherche et développement en horticulture Canadien (https://www.aspro-pnpp.org) confirment et complètent tous les résultats déjà obtenus :

  • En laboratoire et en serre : le tétranyque à deux points, le puceron vert du pêcher, l’aleurode des serres et le thrips des petits fruits.
  • En serre : le virus de l’enroulement de la pomme de terre PLRV) et le virus Y de la mosaïque de la pomme de terre (PVY), tous deux transmis par le puceron vert du pêcher (Myzus persicae).
  • En serre : les acariens, les pucerons, l’aleurode des serres, les mouches noires et les thrips.
  • En plein champ au Burkina Faso sur les haricots verts contre la mouche du haricot et le criquet, sur les pastèques contre la mouche des cucurbitacées, sur la tomate contre la noctuelle de la tomate, les pucerons et les mouches blanches.
  • En plein champ au Québec sur la fraise (punaise terne), les canneberges (tordeuse des canneberges et pyrale des atocas), le brocoli, le rutabaga, le chou et le radis (mouche du chou), le poivron (punaise terne et pyrale), les oignons (mouche de l’oignon), la pomme de terre (doryphores et pucerons).
  • En République Tchèque, les essais ont été effectués sur le puceron du choux (Brevicoryne brassicae).
  • En Suisse, culture en tunnel du romarin sur la cicadelle (Eupterix decemnota).

Ce qu'il faut également noter, c'est que ces formulations n’ont pas démontré d’effets nocifs envers les insectes bénéfiques tel Encarcia et les mites prédatrices tel Phytoseiulus persimilis en lutte intégrée.
Mais attention l'huile de Neem pourrait être dangereuse pour les larves abeilles dont elle entraînerait des malformations (ailes atrophiées).

L'huile de Neem est également un répulsif anti-parasitaire et acaricide ménager. On peut l'utiliser aussi bien en curatif qu'en préventif, sur les plantes bien sûr, mais aussi sur les animaux contre les tiques, mouches, puces, moustiques... ou les acariens sur canapés, matelas, coussins, tapis, moquette...

Utilisation de l'huile de Neem à l'étranger

Rappel : Même si l'huile de Neem est autorisée dans de nombreux pays pour le traitement des végétaux destinés à l'alimentation humaine, en France elle ne peut être utilisée actuellement que pour un usage domestique, c'est à dire seulement pour le traitement des plantes d'appartement ou de balcon !

En préventif : sur aphis, acariens, araignées, coléoptères, et autres insectes parasites, pulvérisez 1 fois toutes les 2 semaines. En curatif : pulvérisez 1 fois par semaine jusqu'à disparition totale du parasite puis 1 fois toutes les 2 semaines.

Maraîchage / horticulture : En préventif (premières feuilles) solution à 0,5 % et en curatif solution à 2%

Arboriculture / Fruits rouges / Vigne : En préventif (premières feuilles) solution à 0,5 % et en curatif solution à 2%

Gazon : En préventif (fin de l’hiver) : solution à 1 % et en curatif solution à 3%

Essais de l'huile de Neem sur les larves de moustiques

Plusieurs études ont également été conduites sur les larves de moustique en laboratoire ou sur le terrain.
Les différents essais en laboratoire ont montré qu'avec une concentration de 9% d'huile de Neem pure, on obtenait la mortalité de 100% en 24h des larves de Culex quinquefasciatus et avec une concentration de 1% une mortalité de 98,85% après 5 jours.
Il a été également constaté qu'avec de l'huile de Neem pure, non seulement les larves étaient tuées par les matières actives mais également par manque d'oxygène : la couche qui se forme à la surface de l'eau empêche les larves de respirer.

Des essais sur le terrain (réservoirs, puits, fosses, piscines,..) ont été effectués en Inde sur les larves de moustiques Culex, Aedes, Anopheles avec également d'excellents résultats.
La réduction moyenne en % de la densité larvaire, suivant les habitats et le type de moustique, est > à 95% le 1er jour et encore de 80% 3 semaines après l'application.

Conclusion des essais : la formulation de l'huile de Neem s'est avérée efficace pour contrôler les larves de moustiques dans les différents habitats de reproduction. Dans les conditions naturelles, une réduction > à 80% des larves d'Anopheles, de Culex et de Aedes a été observée et ceci jusqu'à trois semaines après l'application.

(https://malariajournal.com/content/8/1/124)

Conclusion sur l'huile de Neem

L'huile de Neem en tant qu'insecticide naturel à des propriétés intéressantes mais contrairement au pyrèthre, insecticide également naturel, leurs modes d'action sont différents. Le Neem à un mode d'action à long terme, il faut plusieurs heures voir plusieurs jours avant qu'un insecte ou une population d'insectes disparaissent, alors que le pyrèthre avec son "effet choc" tue l'insecte instantanément. Si l'insecte ne meure pas, il est possible qu'une résistance se développe sur les génération suivantes.

L'extrait de Margosa

L'extrait de Margosa que nous proposons est concentré à 50% et conditionné en pot de 200 ml.

Les informations suivantes on été extraites du site de Terra Nostra, société allemande qui nous fournit l'extrait de Margosa. Ces informations ne sont donc valables que pour l'extrait de Margosa que nous commercialisons.

  1. L'Extrait Margosa, un répulsif naturel
    1. L'extrait de Margosa (n ° CAS 84696-25-3) est un produit naturel dans lequel aucun autre composant naturel ou de synthèse n'est ajouté. Il est produit à partir de la graine de l'arbre Neem, Azadirachta indica A. Juss.
    2. Ses principaux composants sont des acides gras, tels que l'acide oléique, l'acide stéarique, l'acide linoléique et l'acide palmitique. Ils sont présents en tant que glycérides ou sous forme d'acides libres. Les composants complémentaires comprennent des limonoïdes, comme nimbin, salannin et azadirachtine.
    3. Nous garantissons que notre extrait margosa est libre d'aflatoxines dans le respect de l'ordonnance allemande sur les concentrations maximales de mycotoxines (MHmV), ce qui rend possible d'utiliser l'extrait de Margosa non seulement dans les produits biocides, mais aussi dans les produits pharmaceutiques et cosmétiques.


  2. Gamme d'applications de l'Extrait Margosa
    1. L'extrait de Margosa peut être utilisé pour contrôler de nombreuses espèces d'insectes et arachnoïdés, comme les poissons d'argent (Lepisma saccarina), les mouches (Musca domestica), les fourmis pharaons (Monomarium pharaonis), les fourmis noires (Lasius jardin Niger), les acariens rouges (Dermanyssus gallinae) et les acariens (Dermatophagoides farinae).
    2. Dans la plupart des organismes ciblés, l'effet répulsif peut être observé, même à de faibles doses. Immédiatement après l'application du Margosa, les surfaces traitées produisent un effet répulsif sur les organismes qui montrent un comportement de fuite prononcée.
    3. Un effet supplémentaire se produit chez certaines espèces d'insectes. Si leur alimentation est située sur la surface traitée, les composés amères d'origine naturelle contenus dans l'extrait de Margosa, la rendent impropre à la consommation de ces insectes. Les insectes soit quittent la zone traitée à la recherche de nourriture, soit restent et finalement meurent de faim. Dans tous les cas, l'absence de nourriture supprime la capacité des insectes à se reproduire en raison du manque de protéines et d'acides aminés essentiels.
    4. Un développement de l'accoutumance ou même de la résistance contre l'extrait Margosa par les organismes est empêché, ou du moins considérablement réduit grâce à son nombre important de constituants actifs.


  3. Toxicologie de l'Extrait Margosa
    1. De nombreuses études toxicologiques ont été effectuées sur l'extrait de margosa dans le cadre du processus de notification biocide .
      1. DL50 par voie orale chez le rat > 2000 mg / kg
      2. Rat DL50 par voie cutanée > 2000 mg / kg
      3. Par inhalation, rat DL50 > 5,15 mg / l d'air
      4. Irritation de la peau : non irritant
      5. Irritation des yeux : non irritant
      6. Sensibilisation de la peau : aucune sensibilisation
    2. En plus de ces données toxicologiques requises pour la fiche de sécurité (FDS), d'autres études toxicologiques ont également été effectuées. Les résultats ont démontrés qu'aucun symbole Danger et qu'aucune phrase Risque n'était necessaire.


  4. Production de l'Extrait Margosa
    L'extrait de Margosa est fabriqué en Allemagne par un procédé de haute technologie (brevet international) dans lequel l'extrait est obtenu en utilisant le dioxyde de carbone dans un état supercritique comme agent d'extraction.
    Les constituants, très purs, étant extraits très doucement par du CO2 à haute pression.

    Ce processus de pointe offre de nombreux avantages par rapport aux méthodes classiques d'obtention de l'extrait de margosa :
    1. Aucun résidu de solvants organiques dans l'extrait.
    2. Seules des traces de substances indésirables tels que les composés de soufre et de phénols sont présentes, ce qui accroît d'ailleurs l'efficacité de l'extrait.
    3. L'extrait ne contient aucun des contaminants responsables de l'odeur forte fréquemment rencontrée.
    4. l'extrait obtenu est stérile. Il ne contient pas d'eau, pas de protéine ou de polysaccharide, évitant ainsi la possibilité d'un développement bactérien.
    Après l'extraction au CO2, l'extrait de Margosa est analysé dans un laboratoire pour vérifier si il répond aux spécifications. Un contrôle est également fait sur la teneur en toxines fongiques (aflatoxines).