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Crèmes solaires - Protection solaire


Le rayonnement solaire, source de vie mais également source de dangers


protection solaire: rayonnement


Le rayonnement solaire

Le soleil émet un ensemble de rayonnements lumineux qui atteignent la surface de la terre : les ultraviolets (UV), le visible et l'infrarouge (IR).

Les UV, dans leur ensemble, ne dépassent pas 5 % de l'énergie totale, mais leur impact sur les molécules organiques est très important et cela induit des réponses physiologiques considérables dans tous les domaines du vivant.

Les UVA, UVB et UVC sont caractérisés par des plages de longueurs d'ondes différentes. L'énergie de chaque rayonnement dépend de sa source lumineuse (le soleil par exemple) et du milieu dans lequel il se propage (l'atmosphère terrestre si la source est le soleil).

Quelles différences entre UVA, UVB et UVC ?

  • Le rayonnement solaire UVA :protection solaire: les UV
    Les UVA traversent le verre. Leurs longueurs d'ondes sont comprises entre 320 et 400 nm. On distingue les UVA courts (ou WA 2) entre 320 et 340 nm et les WA longs (ou UVA 1) entre 340 et 400 nm. Parmi les UV qui atteignent la terre, 98 % sont des UVA.
    Moins énergétique que les UVB, ils ont un plus grand pouvoir de pénétration dans la peau et 20 à 30 % atteignent le derme moyen.
    Les UVA stimulent la synthèse de la mélanine : c'est le « bronzage UVA » ou pigmentation retardée.
    Les UVA n'ont pas de toxicité directe, mais leur rayonnement génère la production de radicaux libres, molécules extrêmement réactives de courte durée de vie. Ces radicaux libres amorcent des réactions en chaîne altérant 1'ADN, les protéines et les lipides et par conséquent génèrent des cellules cancéreuses. L'incidence des UVA dans certaines tumeurs épidermiques (carcinome épileptoïde) a été clairement établie. Les UVA sont également considérés comme un facteur favorisant le risque de mélanomes. Les altérations moléculaires induites par les UVA sont également à l'origine du vieillissement prématuré de la peau et particulièrement des structures du derme. Le rapport collagène soluble/collagène insoluble diminue au point de faire varier les propriétés mécaniques de la peau (élasticité, épaisseur..). Lorsque ces modifications cutanées sont accompagnées d'un amincissement de l'épiderme, de l'apparition de rides et de taches pigmentaires, l'ensemble de ces changements est regroupé sous la dénomination d'élastose solaire.

  • Le rayonnement solaire UVB :
    Les UVB sont responsables de l'érythème solaire (coup de soleil) qui a son maximum d'intensité 24 heures après l'exposition. Cette réaction stimule le processus de mélanogénèse de la peau à l'origine de la pigmentation retardée, processus attribué aussi en grande partie aux UVA.
    Leur forte énergie peut provoquer la nécrose des cellules de l'épiderme. Ces cellules endommagées portent le nom de sunburn cells et libèrent des médiateurs chimiques qui contribuent aux manifestations inflammatoires du coup de soleil. L'importante énergie des UVB leur permet aussi de générer des désordres moléculaires (altération de certaines liaisons de l'ADN et des protéines) qui à long terme, et s'ils se renouvellent, saturent le système de réparation de l'ADN. Cela entraîne des « erreurs » dans le génome des cellules atteintes, à l'origine de cancers cutanés. C'est pour cela que l'on parle de toxicité directe pour les UVB.

  • Le rayonnement solaire UVC :
    Les UVC correspondent à la fraction des UV qui ne se transmet que dans l'air. Ce sont les rayonnements dont les longueurs d'ondes sont les plus courtes (190 à 290 nm), ils sont donc extrêmement énergétiques.
    Cette énergie leur confère un pouvoir d'altération considérable sur les molécules biologiques. Ils sont d'ailleurs utilisés pour leur activité germicide dans les hôpitaux. Une de leurs cibles étant l'ADN, ils possèdent un potentiel cancérigène très important.
    Si la totalité des UVC générés par le soleil atteignait la surface de la terre, la toxicité qu'ils engendreraient serait telle que la vie serait impossible.

Le rayonnement solaire n'est pas constant

protection solaire:la courbe du soleilLa qualité du rayonnement sur la surface de la terre n'est pas constante. L'intensité des UV est d'autant plus importante si :

  • on s'approche de l'équateur et que l'altitude augmente : à 1500 m, il existe 20 % d'UVB de plus qu'au niveau de la mer.
  • on s'expose entre 12 et 16 heures légales (10 et 14 heures solaires) : 50 % de l'énergie UV journalière est délivrée pendant cette période.
  • la réflexion du sol augmente : elle est de 10 % pour l'eau de mer, de 15 à 25 % pour le sable et de 50 à 85 % pour la neige.

Protection solaire adaptée dès l'enfance

Le pouvoir cancérigène des UV est clairement établi pour les cancers de la partie épidermique de la peau : ce sont les carcinomes épidermoïdes et spinocellulaires. Quant aux cancers qui atteignent le derme, il est démontré que certains mélanomes malins surviennent dix à vingt ans après une brûlure solaire survenue pendant l'enfance.

Il faut évaluer la sensibilité au soleil (phototype) des enfants et des adolescents. Un sujet à peau claire, par exemple, n'aura jamais de bronzage protecteur. Sous l'action des UV, sa peau fabrique préférentiellement un pigment rouge qui non seulement ne protège pas, mais libère des radicaux libres, toxiques pour la peau. La déclaration de ces atteintes est donc souvent le résultat de surexpositions dans les premières années de la vie.

C'est pour cela qu'une photoprotection adaptée, instaurée dès l'enfance, limite considérablement les risques de cancer de la peau.

Source :https://www.pediatre-online.fr/

Protection solaire et cancer de la peau

Un rappel des recommandations de base : couvrez-vous, cherchez l'ombre, ne bravez pas le soleil de midi et toujours, toujours, utilisez une protection solaire.

Sinon, nous dit-on, nous devrons faire face aux conséquences du vieillissement prématuré de notre peau : des rides précoces et le risque de développer un cancer de la peau.

Contrairement à ce qui ce dit, application toutes les 2-3 heures, des recherches ont montré que la meilleure protection est assurée par l'application 15-30 minutes avant l'exposition, suivie d'une nouvelle application 15-30 minutes après l'exposition au soleil. Il faut ensuite renouveler l'application tous les 2 heures. Une nouvelle application est également nécessaire après des activités comme la natation.

Il ne tue pas aussi souvent que d'autres cancers, comme le cancer du poumon et du sein, mais il a tué néanmoins 1570 personnes en France en 2010, selon l'Institut National du Cancer.

Les cas de cancer de la peau ont triplé au cours des 20 dernières années, alors que très peu d'entre nous utilisaient des crèmes solaires. On croirait que le cadre de la mission de santé publique est de convaincre le plus grand nombre de se protéger avec de la crème solaire.

Mais chose curieuse : le taux de cancer de la peau et l'utilisation de crème solaire ont tous deux augmentés simultanément.

Les crèmes solaires peuvent causer plus de tracas que d'avantages

Aujourd'hui, la plupart des crèmes solaires sont "à large spectre", c'est-à-dire qu'elles protègent contre les rayons ultraviolets A (UVA) et ultraviolets B (UVB).

Les UVA et UVB passent à travers les nuages et sont responsables du vieillissement prématuré de la peau. Ce vieillissement prématuré est depuis quelques années associé aux coups de soleil.

L' UVB est connue sous l'appellation « rayon tueur» car il provoque des érythèmes solaires.

On pourrait croire que nous n'utilisons pas les produits correctement, et que nous passons plus de temps en extérieur.

On pourrait également penser, puisque le cancer de la peau prend des années à se manifester, qu'il est trop tôt pour tirer des conclusions.

L'augmentation de l'utilisation d'une protection solaire et celle des cancers de la peau peuvent être considérées comme un paradoxe. Mais certains scientifiques craignent depuis longtemps que les produits chimiques couramment utilisés dans les crèmes solaires puissent causer plus de tracas que d'avantages.

Les crèmes solaires peuvent-elles causer des dommages à l'ADN ?

protection solaire: mutation ADN Les protections solaires que nous utilisons actuellement sont des filtres solaires chimiques ou physiques.
Le Dr Stephen Antczak, co-auteur de Cosmetics Unmasked, en explique la différence : "Les filtres solaires physiques contiennent des matériaux qui réfléchissent les rayons ultraviolets. Les filtres solaires chimiques contiennent des molécules qui absorbent les rayons ultraviolets et réduisent leur énergie ».

Ces produits chimiques susceptibles de modifier les rayons ultraviolets sont à la fois complexes et puissants.
Les trois molécules les plus couramment utilisées dans les crèmes solaires sont : l'acide para-aminobenzoïque, les cinnamates et les benzophénones.

Une crème solaire qui absorbe l'énergie ne peut pas la détruire pour autant. Le Dr John Knowland, biochimiste à l'Université d'Oxford, est préoccupé par les écrans absorbant : "les UV réagissent avec la lumière et donc interfère avec la peau, causant des dommages à l'ADN - une des causes possibles de cancer".

Les crèmes solaires traversent-elles notre peau ?

Il existe des rapports qui affirment que les produits chimiques utilisés dans la protection solaire, un peu comme la nicotine pour les patches, peuvent pénétrer la peau.

Kim Erickson, auteur de "Vous protéger contre les dangers cachés de la cosmétique", cite une étude du laboratoire Queensland, en Australie, où l'oxybenzone, écran solaire chimique, a franchi la barrière protectrice de la peau.

Les scientifiques de la Sahlgrenska University en Suède ont, quant à eux, montré que le benzophénone-3 (B-3), autre produit chimique absorbeur d'UV, est apparu dans les urines de volontaires ayant appliqué la quantité recommandée de crème solaire, dans certains cas jusqu'à 48 heures plus tard.
En Suisse, des chercheurs ont réalisé cinq essais avec des produits chimiques couramment utilisés dans les crèmes solaires. Ils ont constaté que ces produits avaient tous agi comme l'oestrogène. L'un des produits chimiques testés a été trouvée dans le lait maternel.

Le Réseau environnemental des femmes suggère que "ces substances sont non seulement absorbées par notre peau mais elles s'accumulent dans nos tissus adipeux ".

Les chercheurs ci-dessus appellent à la prudence et à plus de recherche.

La crème solaire fonctionne-t'elle comme une défense ?

Bien que les fabricants ne disent pas cela, il existe une fausse idée populaire selon laquelle les crèmes solaires protègeraient du cancer de la peau.
Des crèmes solaires ont été testées sur des rats de laboratoire, afin de protéger contre le cancer spinocellulaire.

Ce cancer est l'un des trois types de cancers cutanés. Il survient plus fréquemment que les mélanomes (potentiellement mortelle), mais beaucoup moins que le cancer baso-cellulaire, le plus répandue. Les preuves n'étaient pas suffisantes pour conclure à l'utilité de la crème solaire dans la protection contre le cancer spinocellulaire.

D'après un groupe de recherche de l'OMS, comprenant des scientifiques, des médecins et des fabricants de crème solaire, "aucune conclusion ne peut être tirée quant à l'utilisation de la crème solaire contre le carcinome basocellulaire et le mélanome cutané».

L'exposition aux rayons UV, même avec une crème solaire, est susceptible d'être un facteur de risque.

Les dermatologues informent qu'un coup de soleil augmente la sensibilité au cancer de la peau.

Les produits de protection solaire ne font pas tout, les gènes ont aussi une importance

«Le plus gros problème avec le cancer de la peau est vos gènes», dit le professeur de dermatologie Gasparro «Certaines personnes peuvent être en mesure de rester au soleil plus longtemps que d'autres - mais vous ne pouvez pas donner ceci comme un message de santé publique."

L'idée est de transmettre une information simple, en tenant compte de tous les messages et de suivre les recommandations des dermatologues sur l'utilisation des crèmes solaires.

Toutefois, ces dernières années, les dermatologues et les groupes de recherche sur le cancer ont rétrogradé la protection solaire comme défense en troisième position - pour les occasions où vous ne pouvez absolument pas vous couvrir ou éviter de sortir au soleil.

Mélanine et protection solaire

Les mélanines sont parmi les principaux pigments biologiques responsables de la coloration de la peau chez l'être humain.

Ce sont les mélanines qui nous fait bronzer, protégeant ainsi l'ADN des cellules de la peau des rayons ultraviolets (surtout UVB) du soleil.
Lors d'une exposition prolongée au soleil, on bronze car le corps fabrique plus de mélanine, on est donc mieux protégé contre les UV.

Les mélanines agissent en absorbant les UV et en restituant sous forme de chaleur l'énergie reçue.

L'eumélanine (pigment sombre) est beaucoup plus efficace dans ce rôle que la phéomélanine (pigment clair) qui protège très peu, et se décompose facilement sous l'effet des UV, libérant des radicaux libres cancérigènes. C'est pour cette raison que les personnes rousses sont plus fragiles que les brunes. Les personnes blondes sont également très fragiles face au soleil.

Même pour les peaux mates ou foncées, la protection offerte par la mélanine est loin d'être totale.

Des dégradations trop importantes de l'ADN peuvent entrainer la cancérisation des cellules de la peau.

Le Facteur de Protection Solaire (FPS)

creme solaire Franz Greiter défini la notion de facteur de protection solaire (FPS) en 1962. C'est devenu une norme mondiale pour mesurer l'efficacité d'une crème solaire lorsqu'elle est appliquée à un taux minimum de 2 milligrammes par centimètre carré. Vous le trouverez aussi sur les flacons sous la dénomination SPF pour "Sun protector factor".

Le FPS est une mesure en laboratoire. Plus le FPS est important, plus la protection contre les UV-B (rayonnement ultraviolet à l'origine des coups de soleil) est importante.

Ainsi, avec une crème solaire FPS 50, votre peau ne brûlera pas avant d'avoir été exposée à 50 fois la quantité d'énergie solaire qui devrait normalement la faire brûler.

La quantité d'énergie solaire à laquelle vous êtes exposé ne dépend pas seulement du temps d'exposition au soleil, mais aussi du moment dans la journée. Les rayons solaires sont plus faibles le matin et le soir qu'à midi.

En pratique, la protection d'une crème solaire dépend de plusieurs facteurs :
- le type de peau de l'utilisateur,
- la quantité appliquée et la fréquence de d'application,
- son activité ( la natation par exemple entraîne une perte de crème solaire sur la peau),
- la quantité de crème solaire absorbée par la peau.

Le PFS est une mesure incomplète car les dommages invisibles et le vieillissement de la peau sont également causés par les ultraviolets A (UVA, longueur d'onde de 320 à 400 nm), qui ne causent ni rougeurs ni douleurs.

Selon une étude réalisée en 2004, les UVA provoque également des dommages de l'ADN des cellules au plus profond de la peau, ce qui augmente le risque de mélanomes malins.

Même certaines crèmes solaires «à large spectre UVA / UVB" ne fournissent pas une protection suffisante contre les rayons UVA.

Protection solaire contre l'UVA

protection solaire: oxyde de titane La meilleure protection contre les UVA est assurée par des produits contenant : oxyde de zinc , avobenzone, ecamsule ou dioxyde de titane. Ce dernier donne probablement une bonne protection, mais ne couvre pas complètement la totalité du spectre,UV-A. Selon de recentes recherches, l'oxyde de zinc produirait une protection supérieure à celle du dioxyde de titane dans les longueurs d'onde située entre 340 et 380 nm.

Selon le professeur Knowland, de l'Université d'Oxford, « si de telles particules peuvent plus facilement pénétrer les cellules humaines, le dossier n'a pas encore été suffisamment traité».

Concernant l'oxyde de titane, le comité consultatif scientifique de la Commission européenne sur les cosmétiques, informe que le composé est "conforme à la réglementation et sans risque pour l'utilisation dans les produits cosmétiques».

Les différents phototypes


PHOTOTYPE 1 : Vous avez une peau très claire, des cheveux blancs (albinos) ou roux, des taches de rousseur qui apparaissent très rapidement en cas d'exposition.

- Ne cherchez jamais à bronzer, protégez-vous en toutes circonstances du soleil (vêtements, chapeaux, lunettes…)

- Crème protectrice : écran total


PHOTOTYPE 2 : Vous avez une peau très claire, qui peut devenir hâlée, des cheveux blonds ou châtains clairs, des taches de rousseurs qui apparaissent au soleil.

- Ne cherchez pas à bronzer. Vous devez utiliser une protection maximale et vous exposer le moins possible au soleil

- Crème protectrice : écran d'un indice supérieur à 30


PHOTOTYPE 3 : Vous avez une peau claire, mais qui bronze facilement, des cheveux blonds ou châtains, peu ou pas de taches de rousseur.

- Vous pouvez vous exposer au soleil, mais de manière progressive et limitée

- Crème protectrice : écran d'un indice supérieur à 15


PHOTOTYPE 4 : Vous avez une peau mate, qui bronze très facilement, des cheveux châtains ou bruns, aucune tache de rousseur.

- Vous pouvez vous exposer progressivement

- Crème protectrice : écran d'un indice supérieur à 10 les premiers jours


PHOTOTYPE 5 ou 6 : Vous avez une peau naturellement pigmentée ou une peau noire.

- Vous pouvez vous exposer progressivement

- Crème hydratante



Le FPS est-il encore adapté aux crèmes solaires ?

L'application minimum selon la définition du FPS est de 2 milligrammes par centimètre carré de peau à protéger.Un rapide calcul permet de trouver que pour un adulte de taille moyenne, il faudrait utiliser au minimum 30g de crème solaire par application.

Malheureusement, «cette information est inutile, parce que les gens en utilisent rarement autant" d'après le Professeur Brian Diffey, directeur des services cliniques à l'Hôpital général de Newcastle.

Il suggère que les fabricants réduisent la quantité de produit solaire utilisée dans les test pour refléter ce que les gens utilisent réellement.
Mais si le référentiel doit évoluer, cela devrait être fait en même temps dans tous les pays. Sans cette armonisation de la norme, les comsommateurs ne s'y retrouveraient plus.

Crème solaire et carence en vitamine D

Les rayons UV sont responsables de la synthèse de vitamine D. L'utilisation de crème solaire diminue la capacité de synthèse de vitamine D par la peau. Ceci peut conduire à des carences en vitamine D.

Afin d'éviter cela, voici les recommandations du Professeur Holick, l'un des grands spécialistes mondiaux de la vitamine D :
"Je recommande aux gens de s’exposer pour une durée qui varie en fonction de la période de l’année, du temps de la journée, de la latitude et du degré de pigmentation de la peau. Si vous savez qu’après 30 minutes d’exposition vous obtenez un léger coup de soleil, je recommande une exposition entre 10 et 15 minutes des bras et des jambes, ou de l’abdomen et du dos si vous êtes en maillot de bain, et cela 2 à 3 fois par semaine. Il faut porter une protection solaire sur le visage qui est la zone la plus sensible. Sortez, exposez-vous au soleil, puis, si vous prévoyez de vous exposer plus longtemps, mettez un écran solaire."

Vrai / Faux sur le soleil et le cancer de la peau

Les coups de soleil sont la première étape du bronzage : FAUX

Dans tous les cas un coup de soleil est déjà une lésion cutanée. Les coups de soleil « légers » provoquent, outre la douleur, un épaississement de la peau. Si le coup de soleil est plus important (brûlure, cloques), la peau « pèle » et laisse la place à un nouveau tissu plus fragile, susceptible de brûler à son tour... C'est un cercle vicieux !


On bronze mieux avec un produit à faible indice de protection : VRAI

Si l'on a une peau apte au bronzage. Mais vous risquez ainsi d'attraper plus facilement des coups de soleil. Car si, pour les sujets à peau mate, les coups de soleil ne surviennent pas aussi rapidement, ils existent tout de même... et la peau subit des dégâts.


Tout le monde peut bronzer, il suffit d'y mettre la dose : FAUX

Certains individus, comme les personnes rousses, fabriquent peu ou pas de pigments bruns qui permettent le bronzage.


Le soleil favorise le traitement de certaines maladies : VRAI et FAUX

VRAI pour :

- Le rachitisme (mais 10 minutes d'exposition par jour suffisent)

- Le psoriasis (en association avec d'autres traitements)

- Les eczémas

FAUX pour :

- L'acné

- Les douleurs articulaires (il vaut mieux traiter la cause), même si la chaleur fait du bien

Il faut surveiller tous les grains de beauté : VRAI

Le terme de « grain de beauté » désigne plusieurs types de lésions pigmentées de la peau : verrues, papillomes, naevus... Seules les lésions contenant des cellules fabriquant du pigment mélanique, que l'on appelle « naevus mélanocytaires », peuvent être à l'origine de cancers de la peau. Mais dans le doute, un « grain de beauté » qui change d'aspect, saigne, s'étend ou dont la couleur se modifie doit conduire à consulter son médecin.

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source : https://www.lanutrition.fr / www.ligue-cancer.net