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Xylophages dans la maison


Les insectes xylophages, et les termites en particulier peuvent occasionner des dégâts importants dans les bâtiments, en dégradant le bois et ses dérivés utilisés dans la construction. Leur activité peut affecter la qualité d'usage des bâtiments mais aussi causer des désordres importants dans leur structure même. Dans les cas les plus extrêmes, elle peut conduire à leur effondrement.
Le risque de dégradation des constructions par les termites et les autres insectes xylophages ne doit néanmoins pas être considéré comme un fléau. Il suffit en effet de mesures simples (telles que la mise en place de dispositifs de prévention lors de la construction, une surveillance et un entretien réguliers de la construction et de ses abords, etc.) pour que ce risque soit maîtrisé et que les éventuelles infestations d’un bâtiment ne s’étendent pas et ne se propagent pas au reste du bâtiment.

En fixant les modalités de prévention et de lutte contre les termites et les autres insectes xylophages, le dispositif législatif et réglementaire en vigueur vise ainsi à la maîtrise du risque de dégradation des constructions par ces insectes (par la protection des bois et matériaux à base de bois mais également la protection de l'interface Sol/Bâtiment).Éléments participants ou non à la stabilité de l'ouvrage


Évaluer l'état des lieux

xylophages dans la maison Tout d'abord, examinez la situation.
Un bon nettoyage vous permettra d'y voir plus clair. Pensez à vous protéger de la poussière avec un masque adéquat.
1 - Essayez de reconnaître l'essence des bois, qui peuvent être très diverses (chêne, châtaignier, peuplier, résineux)
2 - Sondez les pièces de bois qui vous paraissent attaquées à l'aide d'un gros tournevis, surtout aux encastrements dans les murs et là où il y a des traces d'humidité. De la sciure sur les planchers indique une activité récente.
3 - Ne vous fiez pas aux apparences. Une poutre en chêne peut avoir l'aubier entièrement rongé par les vrillettes, mais essayez d'y planter un clou et vous serez rassuré quant à sa solidité. Par contre, un chevron en sapin où n'apparaissent que quelques trous de capricorne devra sans doute être doublé ou changé.
4 - N'oubliez pas les planchers, les escaliers, les huisseries (porte d'entrée des termites), c'est parfois la peinture qui retient l'ensemble.
5 - Si votre inspection a lieu au début de l'été vous verrez peut-être des insectes adultes. En effet, capricornes et vrillettes, après 4 à 5 ans (ou plus) passés à grignoter, vont se transformer en insecte adulte et penser à sortir pour s'accoupler et se reproduire Si vous êtes dans une région "termitée" et si vous avez des doutes, faites venir quelqu'un de compétent. 

Les insectes à larves xylophages

le termite - reticulitermes-lucifugusLes insectes xylophages sont très souvent responsables de dégâts importants sur diverses pièces de bois. Les femelles pondent des œufs dans les interstices du bois. De ces œufs naissent des larves qui se développent à l'intérieur du bois et y creusent des galeries.

Le bois mis en œuvre dans nos habitats constitue un environnement peu accueillant pour les insectes : c’est en effet un milieu dur et sec, la source de nourriture y est peu riche en matières nutritives et souvent difficile d’accès. Pour cette raison, peu d’espèces ont choisi ce milieu pour y déposer leurs pontes, qui donneront naissance à des larves pourvues de puissantes mandibules et capables de dégrader le bois. Ces larves ont une croissance très lente et vont se nourrir du bois qui les abrite souvent pendant de longues années. Les insectes à larves xylophages les plus fréquemment rencontrés dans les bois mis en œuvre sont les suivantes.


Retrouvez nos dossiers détaillés pour chacun des insectes :


Comment traiter les insectes xylophages ?

1 - Quand traiter ?
On peut traiter toute l'année, sauf pendant les périodes extrêmes, très froid ou très chaud. Avec notre insecticide, pas besoin de s'exiler. Prévoir simplement une bonne ventilation pendant la durée du traitement, que vous pouvez effectuer vous-même.

2 - Le bûchage
Il est inutile de mettre du produit dans du bois vermoulu et spongieux, perte de produit et surtout faible efficacité. Il est donc impératif d'enlever toutes les parties abîmées, jusqu'à atteindre un bois sain et dur. Cette opération vous permettra également de contrôler l'état des poutres.

3 - Procéder au traitement
Dans tous les cas, après un bon dépoussiérage, pour les bois de faibles sections (< à 80 cm²), vous pouvez traiter toutes les surfaces de bois soit par pulvérisation (un pulvérisateur de jardin suffit pour les chantiers de taille moyenne), soit par badigeon au pinceau. Pour être efficace, il est impératif d'effectuer au minimum deux traitements à 24h d'intervalle.

Pour les pièces de section > à 80 cm 2 et selon l'essence de bois, il faudra procéder à des injections afin d'inoculer le produit en profondeur. En général, pour effectuer ce travail, on perce des trous tous les 25 cm environ et ce jusqu'au 3/4 de l'épaisseur du bois, puis on injecte environ 0.3 dl à 0.5 dl / trou d'insecticide.

Dans le cas de parquet "un lavage" à l'insecticide donne un excellent résultat.


N.B : Il est évident que si l'invasion d'insecte est forte et vos bois nettement attaqués depuis des années, il faudra faire appel à des sociétés spécialisées et agrées qui établiront un diagnostic complet et des solutions d'interventions appropriées.

Quelques règles simples pour limiter l'installation des xylophages

L’obligation de protection des bois et de l’interface sol/bâtiment ne dispense pas d’une surveillance et d’un entretien réguliers de la construction et de ses abords. Un certain nombre de comportements dits « à risque » peuvent en effet favoriser l’installation et le développement de colonies de termites souterrains à proximité
ou à l’intérieur même d’un bâtiment. La prévention du risque termites incombe donc aussi aux occupants, qu’ils soient propriétaires, locataires ou personnel technique.
Les recommandations ci-après ont pour but d’informer et de sensibiliser tout un chacun à la préservation de son logement ou de son bien immobilier. En plus de prévenir et contrôler les infestations de termites, les mesures exposées ci-après permettent d’ailleurs de contribuer au maintien de bonnes conditions de salubrité et d’hygiène des bâtiments.

À l’intérieur

Supprimer les infiltrations d’eau : les infiltrations d’eau dans les assises peuvent concerner tous les types de bâtiments. Elles proviennent de défaillances ou d’absences de drainages périphériques (eaux pluviales, sources, etc .) ;

Supprimer les remontées capillaires : ce phénomène apparaît essentiellement sur le bâti ancien, qui ne dispose généralement pas de barrières d’étanchéité et qui est souvent constitué de matériaux pleins et poreux (de type pierres naturelles notamment) ;

Surveiller les phénomènes de condensation : liés à une présence excessive d’humidité dans les parois, ils peuvent entraîner le développement d’attaques fongiques et l’installation de colonies de termites souterrains ;

Ne pas encombrer les caves, sous-sols et vides sanitaires d’éléments cellulosiques ;

Bien ventiler les caves, sous-sols, vides sanitaires, etc.


À l’extérieur

Supprimer les points d’eau stagnante à proximité des bâtiments (puits perdus, etc.) ;

Éliminer tous les bois morts au niveau des abords du bâtiment et éviter systématiquement de stocker bois de chauffage, palettes, et de façon plus générale tout élément cellulosique à même le sol et en contact avec les murs (papiers, cartons, débris de bois, etc.) ;

Éviter les plantations à proximité immédiate des murs : la présence d’une végétation trop dense à proximité du bâti peut constituer une source d’humidification répétée ou permanente des parois extérieures. Elle peut également être à l’origine d’une détérioration des fondations suite à un développement non maîtrisé des systèmes racinaires.


Exemples de situations classiques génératrices d'insalubrités